Au Complexe Moulay Abdellah de Rabat, le Maroc s’est offert une nouvelle victoire (1-0) face au Bahreïn, grâce à un but salvateur de Jawad Yamiq dans les ultimes instants (94ᵉ). Mais au-delà du résultat, c’est l’atmosphère vibrante et sincère qui a marqué les esprits : une jeunesse marocaine debout, bruyante, et fière de sa sélection. Longtemps tenus en échec par un bloc bahreïni bien organisé, les hommes de Walid Regragui ont dû faire preuve de patience et de résilience. Le match, fermé et rugueux, a vu les Marocains multiplier les offensives sans réussite avant que Yamiq, en extension sur corner, ne libère tout un stade à la 94ᵉ minute.
Un stade en écho à la jeunesse
Si les gradins n’étaient pas pleins, la passion, elle, l’était. Jusqu’à la dernière seconde, les chants ont résonné, portés par une jeunesse marocaine vibrante, symbole d’un lien profond entre football et identité populaire. Dans les cris, les drapeaux et les tambours, le stade s’est transformé en un miroir social : celui d’une jeunesse qui s’exprime, qui croit, et qui célèbre ses héros.
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