Un différend entre Djamel Belmadi, ancien sélectionneur de l’équipe nationale d’Algérie, et la Fédération Algérienne de Football (FAF) fait les gros titres depuis quelques jours. Une impasse autour de la résiliation du contrat après l’élimination précoce au premier tour de la CAN 2023 en est la cause.
Selon des sources locales, suite à une réunion houleuse et des échanges de lettres, la FAF a officiellement notifié à Belmadi qu’il n’était plus à la tête de la sélection nationale, lui proposant trois mois de salaire en compensation pour la résiliation de son contrat. En réponse, Belmadi a exigé une réévaluation de cette proposition ou le paiement intégral de ses salaires jusqu’en décembre 2026, donnant un ultimatum de huit jours à la FAF.
La réponse de la FAF
Face à cet ultimatum, la FAF a maintenu sa position, affirmant que l’offre de trois mois de salaire était ferme et non négociable. Elle a conseillé à Belmadi d’accepter cette proposition et l’a informé qu’il était libre de saisir la FIFA s’il le jugeait nécessaire. Cette réponse marque une nouvelle étape dans le conflit, avec une FAF déterminée à défendre sa position.
En attendant, le président de la FAF, Walid Sadi, recherche activement un successeur. Si des noms comme Carlos Queiroz ou José Peseiro sont évoqués, l’issue de reste incertaine pour le moment.
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