Tout est bouclé depuis quelques jours, Andreas Hountondji est un nouveau joueur de Burnley FC. L’international béninois quitte la France pour l’Angleterre. Dans un long entretien, le nouvel attaquant de Burnley FC, a partagé son enthousiasme à l’idée de jouer pour son nouveau club. À 22 ans, le Guépard se dit prêt à relever les défis de la vie à Turf Moor et à contribuer au succès de l’équipe.
Dans les prpos relayés par Lancashire, Adreas Hountondji s’est confié sur pusieurs sujets. Il a notamment confié :
Sur sa relation avec son nouveau voach et le club
« J’ai parlé avec le coach (Scott Parker). C’était une bonne discussion, il m’a parlé de ses valeurs, de ses principes et de sa vision du football. C’était parfait pour moi. Les installations ici sont incroyables, il y a tout ce dont un footballeur a besoin et veut. Je suis ravi de m’entraîner tous les jours et de travailler dur pour m’améliorer de plus en plus. C’est un club qui donne des chances aux jeunes joueurs pour les aider à s’améliorer de plus en plus. J’aime le football anglais avec beaucoup de transitions, d’intensité et d’espace. »
Sur les défis et l’apprentissage
« Être un jeune footballeur est parfois difficile, car il faut prendre les bonnes décisions. Pour moi, jouer est la chose la plus importante – c’est comme ça qu’on apprend. Je pense que j’ai fait un bon choix et je suis heureux. Ma meilleure qualité est que je sais que je ne suis pas parfait. Je n’ai pas peur de faire des erreurs, je vais prendre des risques. Je suis attaquant, j’essaie de créer du danger, mais je sais que les erreurs font partie du jeu. Si j’échoue, je continuerai d’essayer, mais quand je réussis, je suis dangereux. »
Sur la pression et l’ambition
« Il faut aimer la pression car dans le football, si on veut être au sommet, il y a toujours de la pression. Burnley est un club ambitieux donc nous voulons atteindre le sommet, gagner des matchs et peut-être même gagner des trophées ! »
Sur l’intégration et l’environnement
Si Hountondji parle un excellent anglais, il a trouvé du soutien parmi ses coéquipiers francophones de Burnley, notamment Maxime Esteve, Wilson Odobert et Han-Noah Massengo.
« Bien sûr, c’est plus facile de parler aux joueurs français mais tout le monde ici est accessible. C’est comme une petite famille ici, on se parle tous et ça fait du bien d’être ici. Je suis ambitieux et si je ne l’étais pas, je ne serais pas là. C’est une nouvelle saison et un nouvel objectif. Nous avons besoin de fans et sans eux, nous ne pourrions pas être là. »
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