Témoignages et soutien du monde sportif au journaliste sénégalais Salif Diallo décédé
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Témoignages et soutien du monde sportif au journaliste sénégalais Salif Diallo décédé

L’athlétisme africain, à travers la CAA, s’associe à cette épreuve qui frappe le sport et la presse. Salif Diallo était un passionné de la première discipline olympique et à plusieurs reprises il était l’invité du regretté président de l’iaaf Lamine Diack aux championnats du monde. Paix à son âme ».

 

« L’Association mauritanienne des commentateurs sportifs présente ses sincères condoléances à nos confrères de l’Association des journalistes sportifs sénégalais suite au décès du grand journaliste sportif sénégalais, Salif Diallo, ce lundi 31 octobre 2022, et félicite le défunt pour son travail journalistique professionnel et respecté. Héritage ».

« C’est avec une peine immense et une vive émotion que l’Association des Journalistes Sportifs du Cameroun -AJSC- a appris le décès, ce 31 octobre 2022, de Salif Diallo, membre de l’Association Nationale de la Presse Sportive Sénégalaise -ANPS-; un homme affable et professionnel que de nombreux confrères camerounais ont côtoyé durant l’épopée glorieuse de la CAN Cameroun 2022 que les Lions de la Teranga ont remporté à Yaoundé. 

Au nom de la presse sportive camerounaise, du Bureau Exécutif de l’AJSC et en mon nom personnel, nous prions l’ANPS et la famille biologique de l’illustre disparu, d’accepter nos sincères condoléances ».

Bertille MISSI BIKOUN,

Présidente de l’AJSC

 

« L’union des journalistes sportifs du Niger (UJSN )par ma voix présente ses condoléances les plus attristées suite à la disparition de notre confrère Salif DIALLO à sa famille et l’association sœur du Sénégal. qu’Allah l’accepte dans son paradis. Ameen.

Sincères condoléances »

 

« Nous venons d’apprendre au sein de L’Association Marocaine de la Presse Sportive, avec profonde douleur et tristesse , le décès de Salif Diallo, Grand Reporter à l’agence de presse sénégalaise (APS). 

Nous considérons que c’est une grosse perte pour toute la presse sportive africaine, et particulièrement pour la presse sénégalaise.

Au nom du comité exécutif de l’Association Marocaine de la Presse Sportive, et l’ensemble des journalistes sportifs Marocains, je présente á mes frères et collègues, président et membres de l’ANPS, ainsi que les membres de la famille du grand défunt, mes sincères condoléances.

Nous sommes á dieu et a lui nous retournant ».

Fait à Rabat le 31 octobre 2022

Le Président de l’AMPS

Badreddine Drissi

 

« We at SJAG are saddened by the sudden demise of our friend, colleague and brother in Salif Diallo. we lost a great human being, Salif was extremely knowledgeable yet very humble. He is always helpful and lovely to work with. we recently collaborated during the AFCON in Cameroon and he was fun to work with. May Allah him Jannatul Firdaws as we send our sincere condolences to his family, ANPS and the entire African sports press. RIP Salif ».

☝🏿☝🏿 Condoléances de la presse sportive gambienne

 

« Nous venons d’apprendre avec tristesse la nouvelle du décès de Mamadou Salif Diallo. C’est une perte cruelle. Nos pensées vont à sa famille, ses proches et à la corporation et en particulier à la presse sportive de notre pays dont il était l’un des plus compétents éléments..

Salif était un excellent professionnel, bien introduit au plan local et en Afrique ou il s’était constitué un vaste réseau de relations. Ses papiers d’agencier faisaient autorité et étaient repris par de nombreux supports..

Sur le plan humain, il était un homme bien et d’une grande reconnaissance. A l’étranger où nous nous sommes parfois retrouvés, il était à nos petits soins   

Nous pouvons témoigner ici avec sincérité pour celui qui fut notre étudiant modèle qui s’était voué passionnément à sa formation. Et le journaliste de l’Agence de presse sénégalaise que nous avions appelé à nos côtés et qui s’acquittait avec beaucoup de cœur à son métier .

Nous présentons nos condoléances à son épouse, ses enfants, à ses parents, ses proches et collègues. 

Paix à son âme. Que Firdaws soit sa demeure éternelle »

Mamadou KOUME

 

« L’Universel s’en est allé !

Un homme de classe s’est éteint !

Je pleure un ange avec toute la presse sénégalaise et africaine un professionnel irréprochable. 

Une catastrophe incommensurable ! Un homme extraordinairement gentil, serviable… Bref, un tout bon! Adieu, jeune homme pur!

Condoléances émues à son épouse et ses proches! Fraternelle sympathie avec toute l’APS et l’ensemble des médias sénégalais. »

Diomansi Bomboté

 

« En Dieu nous venons, et à lui nous retournons. Le décès de Salif est douloureux pour tout le monde . ça l’est encore pour moi.

En juillet 2006, pour les besoins de notre stage de première année, la plupart des étudiants de la 36-eme promotion du CESTI (MTN, Ibou Diouf, AB, Alioune Badara Kane, Marieme Mbengue) avaient choisi l’APS pour nous familiariser au journalisme. 

Trois jours après le début de mon stage, Salif m’a approché pour me demander si je voulais faire le sport (me spécialiser en Sports). C’était le début de notre compagnonnage. Il s’est battu pour que je couvre des compétitions internationales (CAN, Afrobasket, Jeux africains).

En janvier, choisi par la CAF comme éditeur, il m’a désigné pour faire la couverture de la CAN pour l’APS.

Il m’a rejoint ensuite à Yaoundé. Nous avons couvert ensemble le sacre des Lions. Un moment historique pour tous les journalistes sportifs. Avec la disparition de Salif, nous perdons un collègue, travailleur, généreux. 

Salif aimait anticiper sur les évènements à venir comme tout bon agencier.

Qu’Allah nous donne la force et la patience d’affronter cette épreuve… et qu’il accorde sa clémence et sa miséricorde à Salif 

Seigneur, admets le au paradis et mets le à l’abris du châtiment de la tombe et de celui de l’enfer. Elargie lui sa tomble en l’eclairan »

Birane Hady Cissé (BHC)

 

« Salif, tu me laisses incrédule!

Quand j’ai appris ton hospitalisation et pris la mesure de la gravité de ton mal, je me suis persuadé que le corps médical ferait des miracles pour rendre réversible le processus qui semblait te conduire vers l’irréparable. Quand la nouvelle est tombée j’étais incrédule. Comme ce fut le cas de tous les confrères qui t’ont approché, connu et pratiqué. Surprise, stupéfaction et consternation ont été les sentiments les mieux partagés, hier à l’hôpital Abass Ndao d’abord, à la maison mortuaire, ensuite.

Salif, Je te dois plus qu’un hommage. Tu as ma reconnaissance pour l’éternité. Merci pour tes encouragements. Merci pour ton soutien. Merci pour ta générosité et ton sens du partage. Je me rappelle, en 2006, tout jeune journaliste, aux balbutiements de sa carrière, j’ai été envoyé couvrir la Coupe d’Afrique des Nations à Port Said, en Egypte. Tu étais là, le grand frère, le guide et le maître. Tu me coachais, m’amenais à parfaire la pratique de mon métier.

Ta vie, tout le monde est unanime là-dessus, a été consacrée à un idéal commun d’une presse professionnelle qui reçoit le respect qu’elle donne. En 2008, A Tamale, Kumasi et Accra, je commençais certes à acquérir de l’expérience, je faisais mon trou dans le milieu, mais tu ne me lâchais jamais. Tu étais toujours là, derrière moi, à me corriger et m’encourager à toujours rendre un travail bien fait. Merci Grand !

Aujourd’hui que tu as baissé pavillon, renonçant définitivement au combat de la vie, je voudrais chanter ta gloire et ton extraordinaire engagement pour les médias, leur dignité et leur indépendance. Mon admiration pour ta personne, ton sens du travail de qualité et ton esprit positif et rassembleur n’ont pas de limites. Tu m’as souvent inspiré quand je fus chef du desk Sports au journal «l’As». Nos discussions autour de cette passion commune, le foot et ce métier commun, le journalisme vont me manquer. Tu es parti, à jamais. Tu es parti en ayant pleinement rempli sur terre ta mission d’homme et de citoyen. Et, qui plus est, sur des terrains, des stades d’ici et d’ailleurs, dans les rédactions et en des temps a priori peu favorables. Et pour tout cela, tu fais la fierté de tout un pays, du continent, devrais-je dire.

Ta Goudomp natale, Vélingara où tu reposes à jamais, Dakar qui a vu éclore ton talent de reporter mais aussi d’analyste sportif et le reste du Sénégal éprouvent un profond sentiment d’impuissance et de désarroi qui est, sans aucun doute, à la hauteur de ce que tu as représenté et symbolisé durant ta vie professionnelle.  

Salif, tu as vite compris, qu’à force de travailler, en étant surtout exigeant avec toi-même, intransigeant par rapport au respect, tu es arrivé au sommet de la pyramide. Tu as réussi à te placer au sommet de ton art, du journalisme. Tu es retourné, à 53 ans, à ton Seigneur, de façon surprenante et brusque. Nous Lui prions de donner à ton âme de défunt serviteur le repos éternel dans un endroit lumineux, verdoyant et frais, loin de la souffrance, de la douleur et des gémissements. Que la terre de Vélingara te soit légère, Salif ! Amine Ya Rabi

ABC

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    1 Comment

    • Loozap 02/11/2022

      Il est important de savir qu’on peut compter sur des gens

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